Mariés par devoir, amants pour toujours – Les frères Malory, Tome 10

Cet article pourrait s’appeler « Le théorème du Biactol », mais comme une preuve de retenue sans borne de ma part, et parce que je souhaite que tout le monde sache bien de quel livre je parle aujourd’hui, je me suis abstenue.Le titre reste donc le tome 10 des frères Malory.
Sur le papier ça donne quoi ? Ça donne une famille qui me plait bien à l’origine. Une série que je suis en audiobook depuis quelques années maintenant. Je ne suis pas à la pointe de chaque sortie, mais je me tiens au courant. J’ai mes favoris, mais je reste ouverte d’esprit lorsqu’un nouveau tome m’est présenté.

Cet opus, Chi-Chi me l’a offert pour mon anniversaire. J’étais d’ailleurs ravie. Vous pensez, un tome qui m’avait échappé ET un « classique » qui devait me plaire presque à coup sûr…

Un Johanna Lindsey. Cette auteur est à l’origine d’un des pirates que je chéris, portant le doux nom de James Malory. Je me le garde pour le jour où les marins d’eau douce seront mis à l’honneur dans une chronique spéciale, sachez néanmoins que Johanna a le chic pour créer des hommes virils, un brin caractériels, qui savent bien mieux régler leurs problèmes à coup de poings qu’à coup d’arguments. Des héros comme je les aime. Grands, forts et musclés de partout…Revenons d’ailleurs à notre tome 10, puisqu’il est le sujet de ce lundi. En l’ouvrant, je me suis dit « Chic » ! Un héros Malory. En plus, il s’appelle Richard. Un Richard, on est d’accord, ce n’est pas le potentiel de sexytude d’un Colin, mais parfois, un Richard, ça suffit pour nous accrocher à une série fleurie !

Sauf que…
Beware, spoilers à suivre…

Bah Richard, ce n’est pas un Malory, pour commencer ! Je n’ai rien contre les « valeurs ajoutées » aux familles des séries que nous aimons d’amour. Mais là, en plus de ne pas être un Malory, il a des vues sur la femme d’un Malory. Genre, le crime absolu !

Le Malory, vous l’aurez compris, est légèrement borné. Ils ont tous décrété, dans leur stupidité partagée, qu’ils ne se marieraient JAMAIS. Et bien sûr, un livre après l’autre, ils se sont tous fait avoir un par un. Ce qui fait qu’ils sont tous un brin possessif maintenant qu’ils ont trouvé LA perle. Vous imaginez donc comment un homme qui a des vues sur leur chère et tendre peut leur faire voir rouge…

En plus, ce canaillou de Richard, il est marié! Avec Julia Miller, notre héroïne.

Un pacte a été signé entre leurs deux familles alors que les deux héros n’étaient que des enfants. Ce n’est pas un simple contrat que l’un des deux époux pourrait faire annuler une fois l’âge légal atteint. Non, c’est un pacte qui ne peut être dissout qui si les deux familles l’ayant contracté sont d’accord. Pourquoi cela a son importance ? Parce que le père de Richard tient absolument à ce que ce mariage ait lieu.

Et c’est ainsi que Julia et Richard vont grandir en se vouant une haine féroce. Une antipathie telle, qu’ils vont en venir aux mains, se bagarrer comme des chiffonniers. Elle va lui briser le nez. Il va la faire tomber dans un lac gelé… Et je vous en passe et des meilleures.

Ils passeront leur enfance et leur adolescence entière à se détester avec toute la hargne dont sont capables les jeunes à cet âge. Il va se moquer de sa silhouette maigrichonne, elle va ricaner à chaque fois qu’elle est meilleure que lui dans quelque domaine que ce soit. Ils ne trouveront jamais de terrain d’entente. Richard prendra la fuite pour échapper au mariage mais il deviendra pour Julia celui qui représente tout ce qui n’allait pas dans sa vie pendant son adolescence.

Vous savez que les mariages arrangés peuvent donner lieu à de très belles histoires, mais à cette histoire s’ajoute des retrouvailles, et pas des moindres.

Imaginez qu’on vous ait marié au berceau avec celui qui s’est fichu de votre absence de poitrine à l’âge de 15 ans. Celui qui a fait que vous pleuriez intérieurement lorsque le cours de sport arrivait parce qu’il hurlait « hey, gras du bide !».

Imaginez que vos parents aient signé pour vous un contrat qui vous oblige à passer le reste de vos jours aux côtés de celui qui fait ressortir chez vous une partie primaire de votre personne. Cette partie que je nomme la partie Hulk et qui se manifeste chez moi par une envie de violence incontrôlée envers les automobilistes qui ne mettent pas leur s***** de clignotant sur un rond point ou qui déboitent à 40km/h sur une autoroute. Je voue encore une haine féroce à tous mes tourmenteurs (imaginés ou réels) de l’adolescence, j’appelle cela le théorème du Biactol (j’ai un nom pour tout, ou presque).Donc imaginez…
Vous pourrez alors peut-être commencer à entre-apercevoir ce qui a pu animer nos deux héros toutes ces années et pourquoi, malgré les péripéties que l’auteur a placé sur leur route pour les rapprocher, je n’ai jamais pu croire en leur amour. Non. Désolé. Trop de choses à surmonter.

Je vous dirai bien bonne lecture, mais ce serait mentir.

A défaut, bonne semaine…
Tam-Tam

Passagère clandestine

Aujourd’hui c’est fête! On va souper d’un Malory! Oui, cette fratrie de rakes en tout genre, et yummy à souhait! Et pas n’importe lequel, un des premiers (ceux qui sont délicieux et plein d’humour)(pas les derniers décevant comme celui là).

En ce lundi, je me penche sur le cas « James Malory » dans Passagère Clandestine de Johanna Lindsey. Notre James a de nombreuses casquettes: c’est un vicomte, c’est une canaille (sublime spécimen d’ailleurs), c’est la brebis galeuse de la famille, il a fait carrière dans la piraterie (admettez qu’un pirate gentleman cela ne se trouve pas sous les sabots d’un cheval!)(j’ai failli dire à chaque dynastie), il est arrogant, il a juré qu’il n’existait pas sur la planète de femme qui réussirait à le faire se marier. Car l’amour… très peu pour lui. Et côté entêtement, James récolte un beau 20/20.

Mais ça c’était avant.

Par un beau jour, dans une taverne sombre et enfumée, il croise la route de Georgina Anderson, ou George pour les intimes, qui vient de voir celui qui était son promis s’unir à une autre et qui n’a qu’une hâte, rentrer au bercail, home sweet home dans le land of plenty de l’autre côté de l’atlantique où elle pourra reprendre une vie normale auprès de ses frères.

Et comme elle est plutôt pressée, qu’elle possède un tempérament de feu profondément excentrique, elle se dit que se faire passer pour un garçon pendant la traversée sera bien plus pratique que de trouver un chaperon, et se plier aux conventions.

Sauf que bien entendu, pendant la traversée, tout ne se passe pas comme prévu, que James est un rake (pas un idiot) et qu’une jeune fille de 22 ans, pour peu qu’elle ne soit pas victime de malnutrition, va difficilement faire avaler à un libertin de sa trempe qu’elle est en réalité un garçon de 12 ans.

Ce qui doit arriver arrive, James compromet la donzelle, qui contrairement à d’autres histoires dont je vous ai parlé, est plus que consentante, et s’attire les foudres de la tribu de grands frères hypers protecteurs que George lui a dissimulé…

C’est qu’à force de faire des galipettes pendant le voyage, James aurait laissé un petit souvenir (le genre qui attend 9 mois avant de sortir et qui réduit à néant les cellules grises des gens à qui il ou elle fait risette), ce qui n’est pas du tout du goût des frères Anderson qui le prenne en chasse pour lui faire la peau, histoire de laver l’honneur de leur sœur…

Je rappelle à mon aimable lectorat que James a juré mordicus qu’il ne se marierai JAMAIS. La grande question est donc: renoncera-t-il à sa liberté pour une vie avec George? Quant à cette dernière, acceptera-t-elle le mariage « contraint par la force » que lui offre ses frères grâce au le talent de persuasion de leurs armes?

Au delà des improbabilités, l’histoire entre James et George est sensuellement drôle et pleine de dialogues vintage.

Et là vous vous demandez, que veut donc dire notre amie Tam-Tam par « dialogues vintage »? C’est très simple mes chères amies, cela veut dire que la dynamique entre nos deux héros entre dans cette catégorie particulière qui me ramène à mes premiers émois de princesse:
– James est un rake, un libertin, macho et viril, conscient de sa place dans le monde et régalien dans son attitude. Il balaye les problèmes d’un geste nonchalant du poignet et se rit des conventions. Ce n’est pas pour rien qu’il est « la brebis galeuse ». C’est un rôle qu’il a choisi et dans lequel il excelle. Cela lui permet d’être exceptionnel dans une famille ou se démarquer est compliqué, et de n’en faire qu’à sa tête.
– George, de son côté, est l’enfant chéri de la tribu, la petite princesse. Elle aurait pu être un petite chose fragile, couvée par sa famille, mais son tempérament de feu l’a poussé à vouloir sortir du moule. Ainsi, elle aussi n’en a toujours fait qu’à sa tête, malgré les injonctions autoritaires de la fraternité Anderson. Rester à la maison, en sécurité, bien obéissante? Très peu pour elle.

Je vous laisse imaginer les dialogues entre ces deux là, et vous invite à lancer les paris quant à savoir qui aura le dernier mot.

C’est ce qui me plait le plus dans cette histoire. Le clash entre les deux héros. Et pas un clash à la Lady Vixen où les héros sont sadiques, non, un clash drôle, où ni l’un ni l’autre ne veut admettre la défaite et où la mauvaise foi est reine. Et il faut avouer que lorsqu’elle n’est pas dirigée à nous, la mauvaise foi c’est délicieux à regarder non?

Bonne lecture,
Tam-Tam

Mariés par devoir, amants pour toujours – Les frères Malory, Tome 10

Cet article pourrait s’appeler « Le théorème du Biactol », mais comme une preuve de retenue sans borne de ma part, et parce que je souhaite que tout le monde sache bien de quel livre je parle aujourd’hui, je me suis abstenue.

Le titre reste donc le tome 10 des frères Malory.
Sur le papier ça donne quoi ? Ça donne une famille qui me plait bien à l’origine. Une série que je suis en audiobook depuis quelques années maintenant. Je ne suis pas à la pointe de chaque sortie, mais je me tiens au courant. J’ai mes favoris, mais je reste ouverte d’esprit lorsqu’un nouveau tome m’est présenté.

Cet opus, Chi-Chi me l’a offert pour mon anniversaire. J’étais d’ailleurs ravie. Vous pensez, un tome qui m’avait échappé ET un « classique » qui devait me plaire presque à coup sûr…

Un Johanna Lindsey. Cette auteur est à l’origine d’un des pirates que je chéris, portant le doux nom de James Malory. Je me le garde pour le jour où les marins d’eau douce seront mis à l’honneur dans une chronique spéciale, sachez néanmoins que Johanna a le chic pour créer des hommes virils, un brin caractériels, qui savent bien mieux régler leurs problèmes à coup de poings qu’à coup d’arguments. Des héros comme je les aime. Grands, forts et musclés de partout…

Revenons d’ailleurs à notre tome 10, puisqu’il est le sujet de ce lundi. En l’ouvrant, je me suis dit « Chic » ! Un héros Malory. En plus, il s’appelle Richard. Un Richard, on est d’accord, ce n’est pas le potentiel de sexytude d’un Colin, mais parfois, un Richard, ça suffit pour nous accrocher à une série fleurie !

Sauf que…
Beware, spoilers à suivre…

Bah Richard, ce n’est pas un Malory, pour commencer ! Je n’ai rien contre les « valeurs ajoutées » aux familles des séries que nous aimons d’amour. Mais là, en plus de ne pas être un Malory, il a des vues sur la femme d’un Malory. Genre, le crime absolu !

Le Malory, vous l’aurez compris, est légèrement borné. Ils ont tous décrété, dans leur stupidité partagée, qu’ils ne se marieraient JAMAIS. Et bien sûr, un livre après l’autre, ils se sont tous fait avoir un par un. Ce qui fait qu’ils sont tous un brin possessif maintenant qu’ils ont trouvé LA perle. Vous imaginez donc comment un homme qui a des vues sur leur chère et tendre peut leur faire voir rouge…

En plus, ce canaillou de Richard, il est marié! Avec Julia Miller, notre héroïne. 

Un pacte a été signé entre leurs deux familles alors que les deux héros n’étaient que des enfants. Ce n’est pas un simple contrat que l’un des deux époux pourrait faire annuler une fois l’âge légal atteint. Non, c’est un pacte qui ne peut être dissout qui si les deux familles l’ayant contracté sont d’accord. Pourquoi cela a son importance ? Parce que le père de Richard tient absolument à ce que ce mariage ait lieu.

Et c’est ainsi que Julia et Richard vont grandir en se vouant une haine féroce. Une antipathie telle, qu’ils vont en venir aux mains, se bagarrer comme des chiffonniers. Elle va lui briser le nez. Il va la faire tomber dans un lac gelé… Et je vous en passe et des meilleures.

Ils passeront leur enfance et leur adolescence entière à se détester avec toute la hargne dont sont capables les jeunes à cet âge. Il va se moquer de sa silhouette maigrichonne, elle va ricaner à chaque fois qu’elle est meilleure que lui dans quelque domaine que ce soit. Ils ne trouveront jamais de terrain d’entente. Richard prendra la fuite pour échapper au mariage mais il deviendra pour Julia celui qui représente tout ce qui n’allait pas dans sa vie pendant son adolescence.

Vous savez que les mariages arrangés peuvent donner lieu à de très belles histoires, mais à cette histoire s’ajoute des retrouvailles, et pas des moindres.

Imaginez qu’on vous ait marié au berceau avec celui qui s’est fichu de votre absence de poitrine à l’âge de 15 ans. Celui qui a fait que vous pleuriez intérieurement lorsque le cours de sport arrivait parce qu’il hurlait « hey, gras du bide !».

Imaginez que vos parents aient signé pour vous un contrat qui vous oblige à passer le reste de vos jours aux côtés de celui qui fait ressortir chez vous une partie primaire de votre personne. Cette partie que je nomme la partie Hulk et qui se manifeste chez moi par une envie de violence incontrôlée envers les automobilistes qui ne mettent pas leur s***** de clignotant sur un rond point ou qui déboitent à 40km/h sur une autoroute. Je voue encore une haine féroce à tous mes tourmenteurs (imaginés ou réels) de l’adolescence, j’appelle cela le théorème du Biactol (j’ai un nom pour tout, ou presque).

Donc imaginez…
Vous pourrez alors peut-être commencer à entre-apercevoir ce qui a pu animer nos deux héros toutes ces années et pourquoi, malgré les péripéties que l’auteur a placé sur leur route pour les rapprocher, je n’ai jamais pu croire en leur amour. Non. Désolé. Trop de choses à surmonter.

Je vous dirai bien bonne lecture, mais ce serait mentir.
 
 
A défaut, bonne semaine…
Tam-Tam
  

La rebelle attitude

Argh, mais ce n’est pas possible! Que m’arrive-t-il en ce moment??!

 
Pas d’inspiration, pas envie de lire, pas envie d’écrire… C’est la fin des haricots mes amis (ou des courgettes hallucinogènes comme dirait Tam-Tam)!

 

Bref, puisque je n’ai pas de nouveautés à vous faire découvrir, je vais me rabattre sur une vieillerie. Enfin vieillerie, tout est relatif… Disons assez vieux pour être un classique de la romance! Tender rebel de Johanna Lindsey a été publié pour la première fois en 1988. Et pour toute personne qui fréquente un peu le genre, vous savez que la romance a bien changé depuis ce temps! Ce livre appartient à la série des Malory, et les Malory, c’est ce que l’on appelle en science de la romance, une série « old school »… Genre qui est donc marqué par un coté parfois un peu (mais juste un peu n’est-ce pas…) excessif  à l’occasion (comment ça, il y aurait des clichés dans la romance? Est-ce possible?).

 

Mais quand l’histoire est bien menée, quand l’auteur a du talent, ces héros savent rester savoureux. Ils sont « too much » mais qu’ils sont drôles dans leurs excès!

 

Johanna Lindsey fait partie de ces auteurs dont les œuvres ont vieilli. Légèrement. Elle est « old school » mais pas trop. Juste assez pour savoir que ses livres ont été écrits il y a plus de 20 ans pour certains!

 

On y retrouve un héros, homme fort, un rake sans scrupule, aristocrate imbu de sa personne, dont l’assurance confine à l’arrogance, ce qui l’empêche d’écouter quoi que ce soit autour de lui. On y retrouve aussi une héroine, faible femme dans une situation délicate, ayant besoin au plus vite de la protection dudit homme fort et viril (si il pouvait être beau, cela ne gâcherait rien bien sur – sauf que notre héroine veut un mariage de raison et que notre héros ne veut pas tomber amoureux, non non jamais, c’est pour les omelettes ces histoires!).

 

En résumé, Roslynn est une riche héritière menacée par une terrible menace (parfaitement), sans compter la horde de ses admirateurs un peu trop pressants. Oui, sachez Messieurs Dames, qu’une fortune importante poussera des jeunes hommes (autrement biens sous tout rapport) à tenter de vous compromettre dans tous les coins d’une salle de bal, avec l’espoir de vous forcer à l’épouser.

 

Comme Roslynn est une fille intelligente, elle va demander la protection d’Anthony Malory, débauché notoire. Normal. Pourquoi se met-elle en tête qu’Anthony n’essayera pas de faire comme les autres, mystère et boule de gomme. Peut-être parce qu’il est encore plus riche qu’elle, ou parce qu’il est encore plus beau qu’elle? Toujours est-il que Roslynn se rebelle fermement contre le sort que la société lui réserve, un beau mariage et une vie de soumission à son mari. La rebelle attitude version « old school » veut simplement dire que notre héroïne n’a pas la langue dans sa poche, la plupart du temps, mais si on compare avec ce qui se faisait à la même époque, c’est déjà un gros progès!

 

Et si vous mettez une forte tête avec un débauché, vous obtenez des étincelles! Ces deux-là entrent alors dans un rapport de séduction qui ne va pas vraiment arranger les plans de Roslynn pour éviter de se retrouver compromise, puisqu’ils manquent de se faire découvrir toutes les 10 minutes! Rassurez-vous, malgré son caractère rebelle, notre cher Anthony ne manquera pas d’occasion de prouver sa virilité en la sauvant des griffes de ses ennemis… Rebelle, mais pas indépendante, il ne faut pas exagérer!

 

C’est donc une régence 80’s pur sucre, pleine de clichés et de caricatures, mais une romance qui fonctionne malgré tout car Johanna Lindsey sait écrire! Certes, si vous êtes réfractaires à ce style de personnages et à ces intrigues cousues de fil blanc, vous n’aimerez pas Tender Rebel, mais personnellement, j’aime bien retrouver l’ambiance si particulière de mes premières romances!

 

Petit détail à noter, il s’agit du tome 2 de la série des Malory, récemment traduite en français chez J’ai Lu pour votre plus grand bonheur (encore que, ne me demandez pas ce que vaut la traduction, je n’en ai pas la moindre idée)!

 

 

Bonne lecture,
Chi-Chi
 
 
PS : La série est composée, dans l’ordre de :
  • Love only once (Le séducteur impénitent)
  • Tender rebel (Tendre rebelle)
  • Gentle rogue (Passagère clandestine)
  • The magic of you (Magicienne de l’amour)
  • Say you love me (Une femme convoitée)
  • The present (La faute d’Anastasia)
  • A loving scoundrel (Voleuse de coeur)
  • Captive of my desires (Les trésors du désir)
  • No choice but seduction (Confusion et séduction)
  • That perfect someone (Mariés par devoir, amants pour toujours)