On me gâte!!!

pompom

Il y a 10 jours, j’ai franchi un cap (de bébé pour certains, de dinosaures pour d’autres). Mais je suis une princesse, et une princesse ne dévoile pas son « cap ». Mais je vous invite quand même à mon goûter d’anniversaire, où j’ai été gâtée…

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D’abord il y a eu le gâteau d’anniversaire préparé par le prince. Un « Blondie » citron chocolat blanc, sans gluten, mais absolument délicieux! (Si vous êtes sage, je donne la recette à qui veut). Les bougies était roses, et le champomy coulait à flots!

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Ensuite la compagnie! Bon, il me manquait Chi-Chi, mais Ariel était là, et ses cadeaux en ont ébloui plus d’un! Le premier est en tête de cette article. Le tableau d’elle de moi! Je swoone à chaque fois que je rentre dans ma chambre et que je le vois, là, en attente d’un marteau pour être suspendu.

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Le second est dans cette image, en compagnie de celui du prince, et de deux autres offerts par une amatrice de farcidures. Saurez vous devinez qui m’a offert quoi?

Je vous laisse à votre réflexion, je m’en retourne utiliser ma nouvelle baguette magique culinaire rouge à paillettes pour tourner ma soupe…

Bon mercredi,
Tam-Tam

Jour de liesse et roulements de tambour

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Surprise, surprise! Aujourd’hui je poste. Dans le plus grand secret, et faisant fi des règles et en jetant aux orties les plannings à la régularité suisse. Aujourd’hui, je fais dans la folie, la paillette et l’extravagance.

Parce qu’aujourd’hui est un jour de gloire, aujourd’hui, c’est l’anniversaire de Chi-Chi!!!

Pour l’occasion, j’ai couru toute la journée d’hier en Tam-Tamland pour trouver la douceur fétiche de ma comparse (et trouver une pâtisserie d’ouverte ici un lundi, c’était sportif), j’ai fait parlé le dieu paillette (qui n’est pas en moi, mais a qui j’ai laissé carte blanche pour une fois) et j’ai bricolé la petite scénette pour lui envoyer depuis mon royaume fort fort lointain plein de bonnes choses pour cette année à venir! De bonnes lectures, un brouette de héros sexys, de la paillette et du brillant à foison, une « tasse » d’humour anglais, du sweet, du cute et du lovely par cargaison, et Hugh Jackman sur un plateau!

Et pour nous mettre tous de bonne humeur, une super playlist garantie hyper kitch et pleine de paillettes.

BON ANNIVERSAIRE dear!!
Tam-Tam

PS: Note le détail de la skyline. J’ai laché toute retenue sur le coup, mes yeux ont mal, mais pour toi, anytime!

Alfred Jr.

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Pour celles qui nous suivent sur facebook, ceci n’est sans doute pas une nouvelle, pour les autres, petit retour sur les faits: Alfred Pennyworth, mon fidèle Kindle est mort. Point d’écran de la mort en bleu électrique, mais beaucoup de larmes, de tristesse devant cet écran figé sur un la moitié basse et ce texte qui apparaissait encore sur la moitié supérieure…

Et une grande question aussi: Qui allait le remplacer? Parce que si j’étais certaines de reprendre une liseuse, allais-je reprendre la même marque? Quel modèle? Et quand (parce que ce n’était pas prévu au budget de princesse ça!)?

Mais le prince a intercédé (sans doute fatigué de me voir tourner en rond sans livre) et nous avons accueilli Alfred Jr. dans le palais début septembre. Comme je suis une princesse attentionnée, je lui ai fait faire un habit d’apparat tout spécialement pour lui, à l’aide de la photo du « coffre aux trésors » (copyright le prince, once again) et le voilà, entouré de tous ses nouveaux amis!

J’ai depuis repris ma lecture, et je pleure à chaude larmes en lisant le dernier Sherrilyn Kenyon, Styxx.
Affaire à suivre…

Tam-Tam

PS: Pour celles qui se demanderaient, Alfred Jr. est un Kindle Paperwhite wifi, avec un étui personalisable de chez caseable.

Des princesses et des créateurs

Encore des princesses cette semaine. Car décidément elles sont une source inépuisable de créativité chez les artistes.
Les princesses d’aujourd’hui sont des réinterprétations « mode ». En effet, à l’occasion de la mise en place des vitrines de noël, le grand magasin londonien Harrod’s avait demandé à plusieurs créateurs de transformer les princesses Disney en gravure de mode.

Voyez donc… 

Mulan est en Missoni (ma préférée)


Cendrillon est en Elie Saab


Et comme toujours, Ariel, ici en Marchesa (qui n’est pas assez rousse à mon goût)!



Une galerie de portraits plus complète est disponible sur le site de Grazia.

Ce que j’aime avec toutes ces œuvres, c’est la variété que l’on peut trouver. Ce ne sont pas seulement des reproductions de la version Disney, mais véritablement les visions artistiques des créateurs, d’un ressenti autour d’un personnage qui est depuis longtemps rentré dans l’imaginaire collectif.

Car même s’il nous faut parfois réfléchir quelques instants, nous pourrions facilement dire la couleurs des yeux, des cheveux voir de la tenue de pratiquement toutes les princesses version Disney!
 
Bon mercredi,
Tam-Tam
 

Des princesses, encore des princesses

Il y a 15 jours je vous dévoilais (ou pas) quelques clichés de princesses Disney revisitées.
Aujourd’hui, point de photographie, nous partons chercher notre inspiration au Japon!

Toutes celles qui ont un jour suivi les aventures de Bunny et de ses Sailor-copines ne seront pas étonnées par les photos qui suivent.

Drachea Rannak a en effet mélangé les deux univers pour arriver aux « Sailor Princesses ».
Allez faire un tour chez l’auteur, et revenez me dire quelle est votre princesse préférée!
  
Bon mercredi,
Tam-Tam

PS: spéciale kassdédi à La petite lady et Mulan (je l’ai mise exprès pour toi dear!)

Les princesses dans tous leurs états…

Avant de commencer, petite note pour vous dire que T., bien qu’ayant prévu 4532 articles d’avance, n’aura pas internet, et ne répondra pas aux commentaires pendant quelques temps… Quand à moi, je vais lui rendre visite, et je vais donc être aussi coupé de la civilisation! 
Pas de panique donc si nous ne vous répondons pas, nous revenons vite. ^_^
Je rends la parole à T.
Love
C.

Il y a quelques temps déjà, Chi-Chi vous dévoilait les Pocket Princesses

Et pour ceux qui suivent notre page facebook, vous savez que les princesses Disney (et notamment Ariel), ont une place d’honneur dans notre cœur (et je rime).


Cet été, j’ai envie de vous dévoiler d’autres princesses revisitées que je collecte avec soin depuis plusieurs mois déjà.

Aujourd’hui, je vous dévoile un extrait d’une série exécutée par la talentueuse photographe Annie Leibowitz (que certains d’entre vous doivent connaitre d’ailleurs). L’artiste met en scène des stars anglo-saxonnes (du cinéma, du sport, de la télévision…) et recréé l’ambiance Disney autour du personnage choisi.

Ainsi, Scarlett Johanson devient Cendrillon, alors que le clocher commence à sonner minuit…


Penelope Cruz et Jeff Bridges valsent après la transformation de la bête…


Et enfin, Queen Latifah est Ursula…

… tandis que Julianne Moore chante pour son prince et Michael Phelps nage (puisqu’il sait si bien le faire)…

Annie Lebowitz a même fait une série entière sur la Belle et la Bête avec Drew Barrymore en Belle…
J’avoue préférer Drew à Pénélope dans ce rôle…


Bon mercredi et révisez vos Disney!
Tam-Tam 
  

Le chef d’œuvre absolu

 Aujourd’hui est un jour un peu particulier à Vera Cruz…


Et aujourd’hui je dois relever un défi… 

On vous l’a dit et répété, je suis ici la maitresse de l’étiquette. Or, une maitresse de l’étiquette se doit d’être irréprochable en toutes circonstances! Ce qui signifie, un langage châtié, une maitrise parfaite de la bienséance, et, dans les cas les plus extrêmes, une retenue discrète dans les choix esthétiques du blog. 

 
Comme par exemple hier quand, en plein casting avec Lady D., j’ai arbitrairement décidé que non, il n’était pas correct de présenter une photo de Gérard Bulter torse nu. Des Princesses et leurs Ladys se doivent de rester au-dessus de ces considérations bassement matérielles, et ne pas de transformer ces charmants jeunes hommes en simples objets de désir pour notre regard lubrique. Tout le speech sur « ce n’est pas ce qui est à l’intérieur mais ce qui est à l’extérieur qui compte » y est passé! 


De fil en aiguille, nous nous sommes retrouvées à parler de cette vidéo, avec T. (allez voir la vidéo avant de descendre en bas de l’article, sinon vous vous spoilez la surprise!)
Résultat, je me suis emmêlé les pinceaux toute seule et ai fini par me mettre au défi de vous mettre une photo de cet Apollon sur le blog. 

Sauf que…

Maitresse de l’étiquette et tout ça, vous voyez… Il n’avait pas la tenue règlementaire. J’ai bien cherché, et je crois avoir trouvé la parade idéale pour relever le défi sans renier mes convictions! 


Chers lecteurs, je vous présente l’Absolut Hunk, version Chi-Chi! 
(…)
(je ménage mon suspens…)
 
T., dear, je sais que ce n’est pas grand chose, mais j’espère que cela t’aura au moins fait sourire (je t’ai mis quelques gifs de cœurs roses et à paillettes en bonus au cas où) (tout dans la classe et la discrétion, tu pourras le constater)! ^_^
(et même un smiley, attention, je deviens incontrôlable…)
Bon mercredi à tous,
Chi-Chi

Un jour en couleurs

Marion – Celui-ci est un portrait de moi (et bam, je vous révèle mon prénom)
Aujourd’hui n’est pas un jour ordinaire. Pourquoi?
Parce qu’aujourd’hui, c’est mercredi.
Les initiés sauront que mercredi en ces murs veut dire qu’on ne parle pas livre, mais que l’on parle amour…

L’amour dans les romans, c’est avec les mots que l’auteur vous le révèle. Si elle (je suis féministe aujourd’hui, le féminin l’emporte sur le masculin) s’y prend bien, le lecteur aura droit à une déferlante de sensations allant des papillons dans le ventre, aux frissonnements (option chair de poule), en passant par ma traditionnelle envolée de poneys à paillettes… L’amour, les sentiments, les déclarations la main sur le coeur et le genou à terre, l’auteur à son livre pour nous les réveler et faire monter en nous ses émotions.

Dans la vraie vie, celle où je fais la vaisselle et je travaille pour la gloire de mon royaume, il existe d’autres choses capable de faire monter en moi ce genre d’émotion :
  • les bébés animaux (je suis faible) 
  • la voix de Richard Armitage et de Jean Rochefort (si l’une d’entre vous sait comment récupérer les histoires de Winnie l’ourson raconté par Jean Rochefort, je suis preneuse) 
  • le prince (oui, je suis dégoulinante, fouettez-moi) 
  • l’art
L’art est un sujet vaste, mais si certaines pièces ne font clairement pas naitre chez moi les sensations espérées (mettez moi devant de l’art conceptuel, vous allez comprendre), certaines pièces, certains artistes me réduisent au silence.

L’artiste d’aujourd’hui fait partie de ces derniers. Elle me laisse en proie à la page blanche tant certaines de ses œuvres sont renversantes. J’aime ses envolées de couleurs qui révèlent un motif, un paysage, un visage. J’aime la force et le dynamisme qui se cachent dans les traces du passage de ses couteaux. 

Cette artiste, vous la connaissez, il s’agit de Chi-Chi, qui, entre deux romances, révèle sous le nom de Cécile Rousseau, des choses à même sa toile qui vont parfois au delà de l’envolée de poneys.
Et parce qu’aujourd’hui marque le 350ème article, j’ai décidé de me taire et de vous laissez avec mes toiles favorites, et l’adresse de son blog.
Tam-Tam
Rooftops – Celle là, je l’ai chez moi (vous êtes jaloux hein?)
Automne
Matin d’août
Printemps (décidément, j’ai un truc pour les saisons)

Jamie Alexander Malcolm Mackenzie Fraser

Ça c’est pas du titre en carton hein?


Ne nous voilons pas la face, nous connaissons l’effet que ce nom peut créer chez certaines d’entre nous. 
Je peux sans mal imaginer cet enchainement de syllabes avec l’accent un peu rugueux des Highlands et voir vos lèvres s’entrouvrir doucement, comme dans l’attente.
Je vous sais aussi capables d’imaginer la chevelure de feu virevoltant dans un paysage de brume matinale, dardant sur vous son regard de chat. Et là, je sais qu’un soupir vous a échappé. Et oui, je vous vois déjà en train de frissonner à l’évocation de ces 5 mots. 

Comment je le sais? Parce que Jamie.

Je sais, certaines ici n’ont pas encore succombé au charme irrésistible du géant Écossais. Mais les autres, là bas dans le fond, qui soupirent, comprennent.

Ainsi donc, j’ai lu « An echo in the Bone », 7ème opus de la saga de Diana Gabaldon
Je pourrais vous faire un article sur la question, sauf que deux problématiques se posent à moi:

  • comment vous parler du tome 7 sans rien révéler sur les 6 précédents?
  • comment vous parler de ce tome en restant cohérente?

Car Jamie me fait non seulement soupirer d’aise, mais il arrive à me rendre aussi éloquente qu’un yaourt périmé dans le frigo quand on le fixe de bon matin. 

Je sens que je vous perds avec mes métaphores, je vous explique. Un yaourt périmé dans le frigo semble vous fixer et vous envoyer un message, « jette-moi », « mange moi avant qu’une colonie de champignons ne viennent m’envahir », ce genre de chose. Sauf que de bon matin, les neurones n’ont pas encore réussi à trouver le chemin de la connexion rationnelle, et clairement, il peut m’arriver de prêter à ce yaourt des intentions pour le moins étranges « range ton bureau », « il faudrait laver l’arrière du frigo », etc…

Ainsi, Jamie, non content de me faire swooner à mort, me fait partir dans des envolées formidables (à défaut de rationnelles) qui peuvent parfois résulter en une poussée de brillance… Du moins c’est ce que j’aime me dire pour me rassurer (et j’en ai besoin, si l’on considère que je viens d’admettre entretenir une relation étrange avec mes yaourts périmés).

Du tome 7, j’ai tiré une citation et de cette citation est né un dessin que je vous dévoile aujourd’hui… à défaut de vous raconter ô combien ce livre était merveilleux!

Et voilà le produit fini… Le grain du papier fait que le rendu digital est moins bon qu’en vrai, sur une étagère de ma bibliothèque. Mais Jamie! Non?

   Bon mercredi,
Tam-Tam




Quand j’aime voir arriver le lundi…

Oui, vous avez bien lu.
Et non, je ne suis pas sénile, je sais bien que nous sommes mercredi.
Et mercredi C’est Vera Cruz!

Il y a presque 9 mois, nous avons lancé ce rendez-vous hebdomadaire avec vous. Et il y a presque 9 mois, Chi-Chi ouvrait le bal avec le Vlog « Lizzie Bennet Diaries » : une adaptation moderne d’Orgueil et Préjugés qui utilise non seulement le support vidéo, mais aussi tous les supports média modernes que propose la toile tels que Twitter, Tumblr, Facebook, etc…

Cela fait donc presque 9 mois que je vois arriver les lundis avec le sourire aux lèvres, parce que je sais que le lundi à 18h, je vais découvrir un nouvel épisode de ma série web préférée.
Or, si je suis une créature d’habitude qui se réjouis de la régularité des vidéos de Lizzie, il n’en reste pas moins que 2 vidéos par semaine sont nettement insuffisantes pour la grande addict que je suis. Du coup, non seulement je me suis plongée à fond dans l’expérience LBD (ce qui veut dire que je suis au point sur tous les « spin-off » existants) mais je suis avec assiduité l’activité des pages de fans qui me régale avec leurs trouvailles et autres découvertes (cette image notamment, est l’œuvre d’une de ces-dits fans).

Si bien qu’il y a quelques jours, lorsque la page Facebook « Socially Ackward Darcy » a posté ceci, j’ai cliqué de manière automatique. J’étais pourtant bien loin de savoir ce que j’allais découvrir…

Car pour certains, être fan va plus loin que le simple partage et la simple spéculation sur ce qu’il va se passer après. Certains fans sont tellement amoureux de l’univers d’un auteur, d’une série, ou des deux à la fois, qu’ils aiment à se lancer dans la réinterprétation de cet univers.

Et si lorsque cette réinterprétation passe par une illustration on appelle cela un fanart, lorsqu’elle passe par un écrit, on appelle cela de la fanfiction. 

Et la fanfiction que j’ai découverte, je l’ai adoré. A tel point que je ne peux résister à l’envie de la partager avec vous :


Cinq chapitres pour frissonner encore un peu sur Lizzie et Darcy car le ton est juste, les sentiments sont beaux et l’émotion est là.
Une fanfiction de fanfiction. L’amour que le monde porte pour Jane Austen est sans fin. Et moi, grande prêtresse de la romance, je ne peux que m’en réjouir!
 
Bon mercredi
Tam-Tam
 

Care Package chez les princesses

Il y a quelques jours (en fait cela fera une semaine au moment où vous lirez ces lignes) j’ai reçu un « Care Package » d’un royaume voisin. Une fois n’est pas coutume ce n’est pas Chi-Chi qui a rassemblé les éléments de ce paquet, puisqu’elle a elle aussi reçu le même genre de paquet. 

C’est notre amie (et princesse en devenir) Min’, que vous avez eu la chance de rencontrer vendredi pour un article sur son film préféré de la mort qui paillette, qui a eu l’immense gentillesse d’apporter un sourire sur mon visage fatigué.

L’origine de ce Care Package? la création d’une société secrète et son porte clé de reconnaissance (nous finirons bien par avoir une poignée de main particulière). 
Chi-Chi, Persie, Min et moi-même en sommes les membres fondateurs, et les épreuves d’iniciations sont tellement complexes que je me garderais bien d’en parler ici. Mais qui sait, un jour serez vous peut être aussi choisi(e)s…

En attendant, admirez ce paquet plein de sourire en sucre et d’éclat de rire princiers. 
Min! you rule dear!
Bon mercredi,
Tam-Tam

C’est Noël tous les jours à Vera Cruz

Il était une fois une princesse (moi), qui aimait beaucoup sa poudre libre (parce qu’une princesse est parfaite en toutes circonstances) (ce n’est pas moi qui le dit, c’est la maitresse de l’étiquette).
Mais par un jour ensoleillé, alors qu’elle faisait sa valise pour rejoindre une autre princesse (Chi-Chi) en voyage diplomatique, elle réalisa que la boîte de sa poudre libre était vraiment trop grosse pour être transportée de manière efficace. C’est que notre princesse aime voyager léger, voyez-vous… 
Un pot de poudre, aussi beau et raffiné soit-il, ça prend plus de place que le vernis, le rouge à lèvre et le mascara réuni! Et c’est autant de place que les livres n’auront pas, ce qui ne saurait être!
Commença alors une quête, un peu comme celle dans les romans d’héroïc fantasy. La quête de l’objet parfait. Un poudrier petit mais élégant, simple mais raffiné, féminin mais sans chichi (oui, j’ose)… Un poudrier parfait.

Ce poudrier (avec sa houppette), je l’ai reçu en cadeau par la poste en provenance direct de chez mes grands-parents. Un cadeau de Noël en retard. 
Il est beau, il est élégant, il est or et rose. Il est classe mon poudrier de poche!


Je vous laisse, je vais me repoudrer.
  
 
Bon mercredi,
Tam-Tam
   

2.0.1.300

On aime les calendriers en lecture. Le rythme des jours qui marque doucement le passage des saisons et notre avancée dans un livre. 
On aime ainsi marquer le temps qui passe, marquer notre progression dans un challenge, marquer nos rendez-vous (lundi, mercredi et vendredi), nos anniversaires (5 juillet, 8 octobre et 4 novembre), marquer le passage des dizaines ou des centaines, et enfin fêter l’arrivée d’une nouvelle année. 

Il y a quelques semaines, j’ai eu une révélation : notre 300ème post se profilait dans les semaines à venir et allait tomber pile pendant les fêtes, que dis-je, pile le jour de la Saint-Sylvestre!

Je me suis donc retranchée dans mon havre de créativité (comprendre je me suis fait un thé et me suis installée dans le canapé) et j’ai entamé une longue méditation pour trouver THE article à vous faire (comprendre j’ai appelé Chi-Chi). On a parlé de beaucoup de choses (c’est lors d’une méditation de la sorte que notre cast Bridgerton est né d’ailleurs! – TEASING pour mercredi…) mais le thème de l’article 300 est resté flou…

L’idée m’est finalement venue au détour d’un texto et d’un chocolat. Le texto était adressé à Chi-Chi, composé d’une photo et de la date, le chocolat était en train de fondre dans ma bouche. 
En effet, pendant tout le mois de décembre, j’ai marqué chaque jour de l’avent par texto d’une photo et de la date (pendant que mes papilles se délectaient du chocolat que je venais de récupérer dans sa petite fenêtre) (oui, j’ai un calendrier de l’avent… comme les enfants). Chi-Chi, qui est habituée à mes excentricités, n’a pas sourcillé de voir déferler ces textos, ni devant cette idée qui est finalement née de mon calendrier de l’avent. 

En l’honneur de ce post 300, l’année 2012 en photos, arrangées avec créativité par mes blanches mains.
Enjoy!… Et bonne année!
Tam-Tam 
 



Crédit photo: Chi-Chi, Tam-Tam et the internet!
Crédit montage: Tam-Tam

It was Christmas chez les princesses


Vous l’avez remarqué, nous sommes tous un peu absents ces jours-ci, mais avec bonne raison, c’est le temps des fêtes, de la famille et des reines d’Angleterre qui font coucou quand le soleil se montre coopératif!



Une déco sous stéroïdes grâce à une maman-reine qui se rêve en Martha Steward (la case prison en moins), des colis en provenance d’outre-atlantique avec un kitsch inégalable, un diadème de princesse et des boucles d’oreilles d’impératrice chinoise authentiques… 



Des mini-princesses aux ongles impeccables, des chignons de star hollywoodienne, une monture royale (pas de prince à l’horizon?) et des lumières autour de la crèche dont la couleur semble avoir été choisie spécialement pour T.  


Bonne journée à tous et on se retrouve vendredi pour une mini-chronique et le retour de l’une de nos guest-stars et avant le post n°300 lundi, exprès pour célébrer la nouvelle année avec T., et mercredi prochain pour un article déjà prêt, réalisé avec amour à quatre mains et que vous voudrez tous voir et commenter (si si, je vous assure)…


  
With love,
Chi-Ch

La fin du monde n’aura pas lieu, disait Giraudoux

WARNING : ceci est un article avec de l’homme bodybuildé qui empêchera la fin du monde, du kitsch arc-en-ciel et des vidéos sans l’ombre d’un chat mignon… Âmes sensibles, demandez l’assistance d’une personne expérimentée avant lecture !
  
(et oui, j’ose parler de Giraudoux et de romance ensemble,vu ce qui a déclenché la guerre de Troie, cela me parait parfaitement justifié…)
 
Salut, me revoilà… C’est moi, Chi-Chi (mode automatique on, j’ai la chanson des Petits malins dans la tête maintenant, aucun rapport…). Et pour ce jour exceptionnel où je sors de ma retraite (j’ai supplié T. de me laisser faire un article, vous me manquez trop) (mais je n’ai telleeeeemeeeennnt pas le temps de lire que c’en est pathétique…) (du coup, je ne suis pas prête de revenir) (mais là c’était trop important), je vais vous parler d’un homme.

Mais pas n’importe quel homme attention ! Un homme à coté de qui même Hugh Jackman ou Richard Armitage (mon dieu vous l’avez vu dans Le Hobbit? 2h50 de Richard, son regard de velours et sa chocolate voice, en roi des nains over classe, dark et épique, c’est insoutenable de bonheur…) (ne me laissez pas faire sinon je pourrais couiner sur le sujet pendant un article entier, je suis encore sous le choc) (je disais donc, Hugh et Richard…) font pâle figure (mais quelle hérésie… n’écoutez pas un mot de ce que je dis, j’ai du trop boire dernièrement… ou pas assez dormir… ou trop travailler… ou quelque chose… nul n’est au dessus de Hugh ou Richard voyons !!!). Un homme qui a hanté les nuits de toute lectrice de romance qui se respecte (enfin il parait mais perso, je suis trop convenable pour qu’il m’arrive des choses pareilles). Un homme qui a alimenté les fantasmes de générations de donzelles pures et innocentes (et vu l’age, ces donzelles ne sont plus si innocentes je pense parce que ce n’est pas récent récent…). Un homme qui a tout pour lui, le torse viril et le cheveu lustré, le regard de braise et euh… des choses que la décence m’interdit de nommer ici.
Un homme qui va tous nous sauver en ce jour de fin du monde, puisque jouer les héros est l’œuvre de sa vie. 
 
En un mot, THE MAN, the god of romance, j’ai nommé le seul, le grand, le très grand (le très très grand?), l’incomparable, l’inénarrable, l’inébranlable, l’indomptable, etc etc, le très puissant, le très agréable, le très indestructible, FABIO !

Et là, je sens comme un flottement. Mais non, pas de panique, vous là derrière votre écran. Je vais tout vous expliquer… Arrêtez de hausser les sourcils, cela donne des rides, et écoutez….

 

 Fabio c’est lui. OK, là, ça ne vous dit rien. 
 Mais voilà, Fabio, c’est lui aussi.
 
Et puis lui là… vous commencez à voir le truc ? (et oui, il a changé de couleur de cheveux) 
 
Et encore là…

Je pense que vous l’aurez compris, Fabio c’est l’homme que l’on voit sur tout plein de vos belles couvertures rouges des vieux Aventures et Passions que pour rien au monde vous n’auriez sorti en public, et mieux encore, sur tout plein de couvertures vintage originales des romances old-school. (et je vais même vous dire un truc, toutes agressives qu’elles puissent être pour la rétine et pour ma foi en l’humanité, T. adore ces vieilleries…) (si vous voulez lui faire plaisir vous pouvez lui envoyer des photos de toutes celles qui croisent votre chemin) (oui je suis comme ça moi, je balance…) (même pas peur !)

Fabio est donc une légende de la romance. C’est l’homme qui check absolument tous les attributs du héros dans la liste de nos Smart bitches préférées… Le poitrail large et musclé (mais pas poilu, parce que le guerrier du Moyen-Age à la peau lisse en toutes circonstances voyons), la chemise gracieusement ouverte pour permettre un accès optimal (mais rentrée dans le pantalon sinon la censure pourrait croire qu’il a l’intention de faire des choses pas catholiques avec l’héroïne), le symbole phallique à portée de main (épée, étalon, un arbre, un mat de navire, un donjon dans le lointain, vous avez l’embarras du choix), le mythique mulet, et, of course, le déhanché d’un contorsionniste en pâte à modeler ! 
 

Le décor est posé, vous avez compris, il est temps de revenir aux origines et de vous proposer une petite biographie (c’est bien connu, on ne peut comprendre un personnage que si l’on sait d’où il vient)…
Fabio Lanzoni est né en Italie, en 1961… Adolescent sublime, il est repéré dès l’age de 14 ans dans son club de gym et devient mannequin pour le Vogue italien. Mais à 15 ans, le drame. Une jambe cassée semble devoir briser sa carrière dans l’œuf. Cloué chez lui, sous le regard d’un père qui préférerait voir son fils étudier l’économie et la finance, Fabio commence à faire de la musculation. Beaucoup, beaucoup de musculation. Jusqu’à ne plus pouvoir rentrer dans ces costumes italiens si bien coupés pour hommes minces comme des lames de couteaux. Qu’importe, Fabio se tourne vers sa nouvelle passion, le bodybuilding. Fort de quelques succès mais désireux de revenir à ses premières amours, poussé par sa petite amie du moment, Fabio part tenter sa chance en Amérique. Bien lui en a pris car il ne lui faudra pas 15 minutes dans le hall d’entrée de la prestigieuse agence Ford pour décrocher son premier contrat. Et voilà notre Fabio installé à New York, mannequin à succès bientôt célèbre..
Mais si aujourd’hui Fabio a 53 ans au compteur, il a connu son heure de gloire (enfin celle qui nous concerne) à la fin des années 80, en posant pour plusieurs centaines de couvertures de romance !

Elle vous a plu ma petite histoire ? On va s’arrêter là pour la biographie, je ne voudrais pas vous dégoûter définitivement.. 
 

En fait, tout a commencé avec ça : 
   
 
Ça, c’est un livre que je n’ai pas lu (mais cela viendra un jour, promis), qui traînait dans ma PAL le jour où Sandy, Cess, Persie et Mlle P sont venues me rendre visite (il y avait T. aussi mais elle est dispensée sur ce sujet, elle connaît déjà Fabio, elle). Autant vous dire que j’ai eu mon petit succès avec ce livre, que dis-je, ce chef d’œuvre de kitschitude de couverture de la mort ! 
Résultat, Sandy m’a interdit de donner le livre et je suis obligée de tout vous expliquer…
Vous apprendrez, chers lecteurs (ou peut-être que vous le savez déjà et que je me prends un peu trop pour une professeure géniale), que ces couvertures qui ressemblent à des mauvais dessins sont en réalité des photos retravaillées pour ressembler à des dessins (processus issu de l’esprit fou d’une artiste cherchant à dominer le monde par la laideur la plus absolue ? Le débat reste ouvert…) (je vous renvoie à l’article que T. a posté il y a déjà quelques temps et qui vous montre un shooting en multiples détails perturbants).

Après une 1ère apparition sur la couverture de Enchantress mine de Bertrice Small en 1987 (ne lisez surtout pas ce livre, ou rien d’autre de cette auteure, c’est du niveau de Passions captives), l’artiste Elaine Duillo fait de Fabio son modèle chouchou. C’est aussi ce chouchou qui fait parler de lui en étant le 1er homme a apparaître seul sur une couverture de romance, sur un autre Laura Kinsale d’ailleurs, Shadow and the star…

Lequel, pour le coup, est un livre plutôt sympa si ce n’est un peu trop over the top sur la fin et que vous pouvez lire à l’occasion) (Laura est une auteur old-school qui fait preuve d’une grande finesse dans la psychologie de ses personnages, fait assez rare pour mériter d’être mentionné même si ce n’est pas le cas ici et que vous allez en avoir marre de mes apartés)…

J’ai l’impression de parler comme un dictionnaire, j’espère que vous me pardonnerez ces infos en vrac mais vraiment, le sujet est trop passionnant pour que je me limite, je veux tout vous dire de Fabio !

Vous dire que c’est grâce à lui que l’on a su (nous, le lecteur lambda qui était jusqu’alors gardé dans l’ignorance la plus totale) comment étaient fabriquées ces fameuses couvertures.

Vous dire que dans la vie, il est passionné de moto, sa collection en compte plus de 200.
Vous dire qu’il est porte-parole d’une marque de margarine qui s’appelle « I can’t believe it’s not butter ».   

 

Vous dire qu’il a lancé un défi sur la toile pour savoir qui serait la star de la publicité Old spice (que T. adore) (oui je continue à balancer)
(et comme en plus je suis trop sympa je vous mets le lien vers la playlist complète et dans l’ordre… allez tous tout voir, c’est à pleurer de rire !).
Vous dire aussi qu’il est apparu en couverture de plus de 400 romances entre 1987 et 1994 (oui seulement sept petites années pour tant de bonheur, comme quoi on peut bâtir une légende sur bien peu de choses…).
Vous dire qu’il a un fan club officiel, des calendriers à son effigie… Qu’il a fait la une de People magazine et été classé parmi les hommes les plus sexy du monde par Cosmopolitain en 1993 !
 
Cela laisse rêveur non ? 
Vous dire aussi que Fabio est auteur de romance. Qu’il est même le premier homme (et le seul pendant trèèèèèès longtemps) a avoir publié de la romance sous son vrai nom… Qu’il a écrit six livres tout seul comme un grand puis encore deux autres en collaboration. Et que non, ne me demandez pas, je n’ai lu ni Pirate, ni Rogue, ni Viking, ni Champion, ni Comanche ou Dangerous, et que je ne suis pas prête encore. Peut-être dans quelques années quand je commencerai a bien m’y connaître en romance et que je ne me laisserai pas impressionnée par l’aura du personnage ?
Mais je peux bien me moquer de Fabio, même si il est un peu ringard today, c’est tout de même un mythe dans le monde de la romance, un mythe qui a aidé à révéler le genre au grand public, et un mythe qui a si bien incarné son personnage de héros de romance qu’il est devenu le porte-parole de la romance des années 90, jusqu’à donner des conseils aux amoureux en détresse, parler dans la presse et à la radio sur le sujet, enregistrer un album de poésie musicale (ah non pardon, je vous garde ça pour la fin), joué dans plein de soaps, séries et films (et certains plutôt connus comme Amour gloire et beauté, Agence Acapulco ou La mort vous va si bien…), et toujours, en conservant son image de lover italien romantique et bodybuildé (sacré performance d’association non ?) (et en plus il a pas mal d’auto-dérision, comme vous avez pu le constater dans les vidéos Old Spice, ce qui fait que je l’aime bien malgré tout) (parce qu’il faut avouer qu’il a la classe, non ?).

Enfin, arrêtons là les réjouissances…

Maintenant vous ne pourrez plus dire que vous ne savez pas qui est Fabio et je ne doute pas que votre vie s’en trouve enrichie, que votre cœur chante, que votre âme s’élève face à tant de grâce et de talent car enfin, vous savez! (non mais sinon, avouez que c’était bien un sujet de la plus haute importance !!!)

Et, comme promis, un petit bonus pour la fin… Qui veut entendre la voix de Fabio, expliquant aux hommes comment être romantiques ? C’est mon petit cadeau de Noël pour vous ! (dois-je encore préciser que ce n’est pas un accident, mais bien un album, enregistré, que des gens ont payé pour produire, et d’autres pour écouter et tout ?) (même que cela s’appelle Fabio after dark) (j’en frémis) (et pas dans le bon sens du terme) (allez bonne écoute que même) (ou bonne rigolade, à vous de voir)

Passez tous un bon vendredi de fin du monde (qui n’aura pas lieu puisque Fabio veille sur nous) et de bonnes fêtes, des vacances de rêve (au soleil avec Fabio ?) (oui je précise que ce bel homme est actuellement un cœur à prendre, si jamais il y a des amateurs…) pour ceux qui ont de la chance, et tout plein d’ondes positives pour ceux qui n’en ont pas…


Love,
Chi-Chi
  

PS : Jetez un petit coup d’œil en haut de la page, on a fait des modifications : une page pour rassembler tous les thèmes dont il est question chez nous (1,2,3 thèmes) et une toute nouvelle, toute belle blogroll avec autre choses que des livres pour cette fois! Enjoy… 

Nous Deux à Vera Cruz

Nous Deux, pour les ignorantes, c’est un magazine, mais pas n’importe quel magazine.
Il fait parti de ces hebdomadaires que l’on feuillette dans les salles d’attente médicales ou chez le coiffeur. On y découvre la romance sous plein de formes: des nouvelles, des histoire à épisodes, des potins, et cerise sur le gateau, des romans photos!!!! Ainsi, comme une certaine catégorie de livres que nous aimons d’amour ici, il souffre d’une réputation assez déplorable.
Nous deux, c’est au moins aussi cliché que le Harlequin.
Lors de mon séjour parisien, j’ai été gâté et j’ai ramené dans mes bagages un ouvrage anniversaire qui retrace l’histoire de ce magazine. Au fil des pages, on y apprend les origines, les parodies, les numéros avec les guest stars, les couvertures populaires…

Et vous me connaissez, moi et les couvertures, il ne m’en faut pas beaucoup pour lancer à plein régime mon imagination fertile.

En feuilletant mon ouvrage j’ai joué à un jeu que j’ai appelé « sous la couverture, il se passe quoi? » (oui, j’ai l’art de la formulation shock) j’ai tellement ri que j’ai décidé de partager…
« Stephen est confus, Mireille l’a surpris en train de culbuter Yvette, la soubrette. Cette dernière avait passé l’après-midi entier à agiter sa croupe devant ses yeux et n’avait eu que ce qu’elle méritait. Mais Stephen aime Mireille et veut la reconquérir. C’est gentleman, il a mis tous les atouts de son côté et rentre ce soir un bouquet de fleurs à la main.

Mireille est contrariée. Elle pensait enfin s’être débarrasser de Stephen lorsqu’elle l’avait surpris avec sa boniche. Mais ce dernier est aussi entêté que nul au lit. Le voila donc dans son salon, un sourire mievreux sur le visage et un bouquet de roses flétries à la main. Et dire qu’à l’heure qu’il est elle aurait pu être avec Fabio… « 


Après un début d’année très difficile, Suzette et Jean ont enfin réussi à se liberer pour le weekend. Car entre son travail dans la finance et sa carrière de mannequin, les moments à deux sont rares. Mais Jean à envoyer un telex à Suzette il y a 2 jours lui ordonnant de faire sa valise. Ils partaient à la campagne pour se retrouver.

Mais sur le chemin qui devaient les mener à 48 de délices et de sensualité, tout va de mal en pis. Jean est arrivé en retard, Suzette n’avait pas prévu qu’il y ait tant de vent et son chapeau favori s’est envolé. En chemin ils ont crevé, et Jean a beau etre un homme viril et compétent, il ne voulait pas tacher son beau costume italien qui coute trois briques.
Nos deux tourtereaux réussiront-ils à se retrouver entre les chèvres et les délices champêtres? 
C’est maintenant à votre tour de vous laisser inspirer par ces couvertures. En voici 6 (elles sont magnifiques non?), je vous invite à me laisser votre synopsis en commentaire! 


Bon brainstorming,
Tam-Tam


Cadeau princier

Il y a quelques semaines, je fêtais mon anniversaire. Pour l’occasion, Chi-Chi m’a commandité un cadeau sur mesure. Un bijou de perfection dans le détail et la finition sorti tout droit des doigts agiles de Wrapped Around my Finger. Voyez donc…

CC, comme la chatoyante expéditrice, le tampon d’obliteration marque la date de mon anniversaire, et la touche finale, l’adresse de l »enveloppe »:

Je suis in love. Il est rouge, il est paillettes, il est parfait!
Et puis comme Chi-Chi trouvait que je n’avais pas assez de rouge chez moi, elle a ajouté une dernière touche au cadeau. 

C’est donc les orteils étincelants que je vous recommande de filer explorer le site de la fée créatrice de cet étui. Après tous, les fêtes arrivent, on ne sait jamais vous pourriez être à court d’idées…

Bon mercredi,
Tam-Tam

The pink side à Vera Cruz

Si j’en crois les dires de Chi-Chi, il peut m’arriver d’avoir des éclairs d’humour assez exceptionnels. Je compense bien entendu cette tendance avec des périodes de médiocrité avéré. Du coup, je reste une personne très cotoyable et pas prétentieuse pour deux sous. 
J’ai même une conscience éclairée de mes propres incompétences. Par exemple, je suis celle qui se perd dans un supermarché/musée/tout endroit où tout est fléché. Je vous entends murmurer que j’exagère sans doute, que cela ne doit pas être aussi catastrophique… Ô comme j’aurais aimé exagérer!

Ensuite, si l’avenir du monde repose sur ma performance sur la dictée de Bernard Pivot, je suis au regret de vous dire que nous allons tous mourir. Profitez-en pour mettre vos affaires en ordre.

Mais parfois, quand on gratte la bêtise et la maladresse, je peux sortir des petits perles dont celle qui est à l’origine de l’illustration de cette semaine. 

Bienvenue du coté rose de la force!

Et comme on a toujours besoin de munitions pour convertir les foules. Un petit point sur les sorties littéraires que vous devez absolument vous procurer:
L’amour et tout ce qui va avec: Parce que c’est le premier Kristan Higgins que nous avons lu Chi-Chi et moi et qu’il tient une place particulière dans nos coeurs. Du contemporain doudou. De la romance réconfortante. Parfait pour la saison!
Pour un tweet avec toi: Teresa Medeiros signait il y a presque 2 ans cette romance pas comme les autres en répondant à cette question: peut on tomber amoureux en 140 caractères. Nous avons toutes les deux dit OUI!
Tout feu, tout flamme: Dernier tome de la série des Chicago Stars. Une série de Susan Elizabeth Phillips qui se dévore, qui se savoure et qui se relit sans modération!
Acheron: Pour celles pour qui ma chronique endiablée n’aurait pas suffit! Sherrilyn Kenyon signe ici un tome dense et prenant (si j’en crois les échanges intenses que j’ai eu avec Hydromielle sur le sujet)

Puritaine et catin, Liaisons inconvenantes: Tout deux réédités. Elizabeth Hoyt verra le tome 3 de cette série (Les trois princes) ressortir en décembre. C’est le moment de vous le procurer. En plus vous pourrez faire ainsi des économies de chauffage!

Et puisque j’en suis aux annonces, ouvrez vos agendas et notez bien qu’en décembre sortent Coup de chaud en Alaska d’Addison Fox et Douzième coup de minuit d’Eloisa James. Si le premier fleure bon les aurores boréales, les étendues sauvages du grands nord et les évènements sportifs pas comme les autres, le second et tout simplement incontournable pour les amoureuses des contes de fées. Car l’auteur démarre ici sa série qui reviste au fur et à mesure les classiques de notre enfance. Un must have, un chef d’oeuvre… Le cadeau de noel parfait?

Bon shopping, 
Tam-Tam

Eudoxie à Vera Cruz

J’ai une amie magique aux doigts de fée. Une amie qui transforme le satin et les rubans en créations magnifiques. Une amie qui use des crayons et des couleurs pour créer des choses magnifiques.

Cette amie, c’est Eudoxie.

Il y a quelques semaines, je suis arrivée avec un sac plein de mes romances (leur couvertures kitch et leurs éphèbes dénudés) et je lui ai demandé de les rendre belles et classes. Je voulais la « Eudoxie’s touch » sur le monde de la romance.

Reine de la mise en scène, alliant paillettes, coiffures, et dessins; elle a relevé le défi.

Et c’est masquée, et avec la participation exceptionnelle du prince pas si charmant que je vous présente cette série de Photo made in Eudoxie!


J’ai un lit confortable, où se côtoient NR, LK, EH et plein d’autres lettres… 
 
Quand vient le soir, je sélectionne un compagnon…
…et je m’installe pour un tête à tête littéraire.


Parfois, la lecture se fait intense, et je rougis dans les draps.
Mais quelque soit le livre, je m’endors un sourire au lèvres, la tête plein de déclarations délicieuses à souhait.
Avouez qu’après de tels clichés, on a du mal à trouver les couvertures de nos romans d’amour préférés ridicules ou désuets?

Bon mercredi,
Tam-Tam

Crédit Photos: Eudoxie 

NB: Aucun animal n’a été maltraité pendant cette séance photo. Le manteau est garanti 100% peluche véritable


Une princesse à la Foire du livre

Ariel a fait ses valises le weekend dernier et est repartie en vadrouille. Elle s’en est allée visiter La Foire du Livre de Brive-la-Gaillarde
Elle ne semblait d’ailleurs pas la seule. Certains visiteurs semblaient avoir décidé de dormir sur place.
De son côté, Ariel s’est baladée dans les allées de la foire et a vu du beau monde, elle a attendue sagement pour avoir ses dédicaces, et elle a surpris plus d’un auteur. 
Mais il faut croire que les auteurs sont eux aussi un peu étranges dans leur pratiques créatives, parce qu’ils n’ont pas sourcillé!
Mais voyez donc…
Au rayon des rencontres qui n’ont pas eu lieu… Dave, sa mèche, ses yeux bleu devaient être encore en train de chercher Vanina. Parce qu’au moment où notre sirène a agité ses magnifiques cheveux de princesses disney devant son stand, il n’était point là.
Elle a taché de se consoler avec le roi de la dictée. Elle aurait aimé lui dire que « roman ou autobiographie? » n’était pas la question primordiale à côté de « romance contemporaine ou historique? », mais lui aussi n’était pas à son stand. Il était encore dans le train « Trans-Europe Express »,  classé aux monuments historiques et sortant tout droit d’un livre d’Agatha Cristie.
Mais la foire est grande, et les stands nombreux. Celui-ci est clairement une illustration du « Tu sais que tu habites en Corrèze quand… un livre s’intitule Casanovaches » qui plait tant à Stéphanie!

Mais où donc étaient les auteurs? Notre princesse a fini par les trouver.

L’auteur de ce livre, en plus d’être adorable, s’est montrée très emballée par l’idée d’une photo avec Ariel. Il faut dire que cette ancienne cuisinière de Mitterrand a l’habitude de côtoyer du beau monde et ne s’est pas sentie intimidée par notre princesse.
Ariel a finit par rejoindre le stand des BD. Oui, parce que dans la vraie vie, la bibliothèque de Tam-Tam (qui parle d’elle à la troisième personne) déborde autant de BD que de livres.

 
Notre Princesse est immortalisée pour toujours sur le Tome 3 de la série Clues de l’auteur Mara (série géniale qui se passe à la fin du 19ème siècle)
En bonne maitresse de l’étiquette, j’entends Chi-Chi d’ici me dire que c’est très dénudé tout ça. Mais tant de beauté ne mérite aucune censure, n’est ce pas Dear?

Le prince pas si charmant a lui aussi participé au reportage photo:
La scénariste du « Tombeau d’Alexandre » (série en trois tomes super top qui se passe elle aussi en plein 19ème siècle) a beaucoup d’humour je trouve. Cette dédicace est parmi mes préférées!!!
Je vous laisse sur cela. 
Bon mercredi, 
Tam-Tam


Pocket princesses

Quelques petits mots super rapides cette semaine… 

Ceux qui nous suivent sur Facebook sont déjà au courant, mais je voulais partager avec vous l’art d’Amy Mebberson, qui dessine à merveille des petites princesses Disney à mourir de rire! 
(ci-dessus, sa réaction à la grande nouvelle de ces derniers jours, non, pas l’élection d’un nouveau président américain mais le rachat de Lucas Films par Disney et l’annonce d’un nouveau Star Wars – gloups j’ai peur…)

Allez faire un tour sur son Tumblr et revenez me dire ce que vous en avez pensé!
 
Bonne journée, 
Chi-Chi
  

Une librairie à Paris…

  
Aujourd’hui, je vous emmène visiter ma ville… 
C’est en voyant Karine publier une photo sans légende sur Facebook que j’ai reconnu un de mes lieux préférés à Paris et eu envie de vous le faire partager. Librairie anglophone, Shakespeare and company, ouverte en 1951 par George Whitman, est devenu une véritable institution du quartier latin. Si vous n’y trouverez pas souvent de romances, ou alors des fausses romances, le lieu compense largement cette faiblesse par son charme hors du commun… 

Suivez-moi pour la visite guidée…


Bienvenue…


Pas certain qu’un autocar, SNCF ou autre, puisse se faufiler entre les étagères étroites! 
Ici, une foule de petits détails, bibelots et souvenirs, décorent chaque recoin…

Tous sont les bienvenus, sur les banquettes du 1er étage, certains s’installent même 
pour faire la sieste sans risquer d’être dérangés… 

 Les livres sont partout, même au dessus des fenêtres d’époque…


La cour intérieure est décorée de figurines, cow-boys, chevaux, vaches, 
cochons et avions qui s’envolent…


Sous un escalier, le coin de l’écrivain… 


Des citations, des proverbes, des photos et des dessins partout sur les murs.
Ici, la maxime qui a guidé 50 ans de vie du lieu…


Une jeune fille joue Amélie Poulain au piano, 
d’autres se sont installés pour lire tranquillement en l’écoutant…


Des amoureux cachés dans une alcôve se tiennent la main en chuchotant…


Sous une pile de dictionnaires, un escalier usé, 
décoloré par les pas de milliers de lecteurs…


La mythique échelle de bibliothèque, 
indispensable quand les livres montent jusqu’au plafond…


Un puits à vœux dissimulé sous une pile de livres et des mosaïques anciennes, 
un lieu chargé d’histoire…

En dépit des apparences, ceci est une caisse…


Sur le trottoir, devant, les livres d’occasions, des bancs et un jeu d’échec 
dont certains font bon usage…


Et bien sur, la signature, sur un volet en ardoise, un poème en prose, écrit par George Whitman lui-même…

« Some people call me the Don Quixote of the latin quarter because my head is so far up in the clouds that I can imagine all of us are angles in paradise. And instead of being a bonafide bookseller, I am more like a frustrated novelist. Store has rooms like chapters in a novel and the fact is Tolstoï and Dostoïevski are more real to me than my next door neighbors. And even stranger is the fact that event before I was born, Dostoïevski wrote the sotry of my life in a book called The idiot, and ever since, reading it, I have been searching for the heroin, a girl called Nastasia Filipovna. One hundred years ago, my bookstore was a wine shop hidden from the Seine by an annex of the Hotel-Dieu hospital which has since been demolished & replaced by a garden. And further back in the year 1600, our whole building was a monastery called La maison du mustier. In medieval times, each monastery had a frere lampier whose duty was to light the lamps at nightfall. I have been doing this for fifty years now. It is my daughter’s turn. »

Certains m’appellent le Don Quichotte du quartier latin, car ma tête part si loin dans les nuages que je peux tous nous imaginer comme des anges au paradis. Et au lieu d’être un libraire sérieux, je suis plutôt comme un écrivain frustré. Ma boutique a des pièces comme les chapitres d’un roman et Tolstoï et Dostoïevski me paraissent plus réels que mes voisins d’à coté. Et plus étrange encore, avant même que je sois né, Dostoïevski a écrit l’histoire de ma vie dans un livre intitulé L’idiot, et depuis que je l’ai lu, j’ai cherché mon héroïne, une femme au nom de Nastasia Filipovna. Il y a une centaine d’année, ma librairie était une boutique de vin cachée de la Seine par une annexe de l’hôpital de l’Hôtel-Dieu, depuis détruite et remplacée par un jardin. Et bien avant encore, vers 1600, tout le bâtiment était un monastère appelé La maison du mustier. En ces temps moyenâgeux, chaque monastère avait un frère lampier chargé d’allumer les lanternes à la tombée de la nuit. C’est ce que j’ai fait depuis cinquante ans. C’est maintenant au tour de ma fille. 

Si jamais vous passez par Paris, allez faire un tour du coté de Shakespeare and company, sur les quais de la Seine, en face de Notre-Dame… 
 
Bonne journée et bonne visite, 
Chi-Chi
 

Chi-Chi au pays des Chicago Stars – episode I

Bon, alors, ce n’est plus vraiment un secret pour personne, puisque Chi-Chi elle-même a révélé l’affaire au début du mois d’août, mais je suis récemment revenu de voyage diplomatique.
Et comme je prends mes responsabilités de princesse très au sérieux, le choix de la destination ne fut pas anodine.
Cette semaine, Vera-Cruz se relocalise et Chi-Chi vous accompagne pour un reportage particulier aux pays des Chicago Stars!
Je vous « keep in the loop »?
Au matin du premier jour, Chi-Chi et moi-même sommes allées admirer les gratte-ciels. Il faisait beau le long de la rivière…
 Michigan Avenue
Ballade le long de Navy Pier
 
Lincoln Park
C’est tout pour aujourd’hui… Si vous êtes bien sage, je vous en révélerai plus la semaine prochaine!
Bonne journée,
Tam-Tam

Making of à Vera-Cruz

Chez les princesses, il existe quelques photos devenues presque cultes. Il y a  d’abord eu la bibliothèque de Chi-Chi rangée chromatiquement, et puis il y a eu le coffre.
Certaines d’entre vous avez eu la chance de les admirer sur Facebook. Mais la foule en délire les réclamait publiquement. Les voilà.
Le coffre au trésors, le making of par le prince pas si charmant:

Chapitre 1 – Ou comment le prince réadapte l’idée de base « je voudrais une pile de livre avec une bougie dessus ».

Chapitre 2 – Ou comment le prince vide les étagères pour remplir un vieux coffre: On place les livre moins bien dessus, on garde la chemise dans le champs de la photo. La classe internationale!
Chapitre 3 – ou comment le prince va faire 37 photos: des temps de pose différents (le flash, c’est le diable), des angles différents (pour avoir le meilleur cadre).
Chapitre 5 – Ou comment Tam-Tam y va de ses commentaires débile au moment de l’ultime prise de vue: « Fais l’amour à la caméra! Exhibe ton torse you minx! Sors de la baignoire et montre nous tes tablettes petit canaillou! ». Super constructif.
Chapitre 6 – Ou comment le prince mets la photo sur l’ordi, me tend l’engin et me demande « ça va? » et ou je devient muette d’admiration (je suis peut être un peu partial, je l’admets)

Tam-Tam

PS Bonus: une vue imprenable du Canapé Rouge monté par Chi-Chi, la reine du tourne-vis Ikea!

Une journée à Vera Cruz

Il était une fois des héros, de romance, bien entendu. Les héros de romance, leur boulot, c’est de se trouver. Avant, ce n’est pas si intéressant (sauf si ce qu’ils vivent dans leur enfance a une influence sur la quête du conjoint parfait). Quant à après, Chi-Chi sera d’accord pour dire que cela peut parfois ruiner le rêve (pour ma part, je n’ai rien contre les années qui passent sur la vie de nos héros, mais c’est un autre débat).
Ce que l’on n’aborde jamais en revanche, c’est ce qu’ils font quand il ne sont en pleine introspection sur leur avenir sentimental :
Met-elle son réveil à 8h?
Est-il du matin?
Ont-ils une vie sociale?
Dort-elle à gauche ou à droite?
Qui s’occupe des poubelles, du linge?
Tant de questions que je me pose bien souvent (parce que, en effet, j’ai l’esprit complétement dérangé) et dont la réponse à toujours été devant mes yeux.
Vous vous souvenez que les versions originales de nos romans favoris ont souvent des « entre-couvertures » où les héros sont mis en scène dans un cadre bucolico-routiner?
En rangeant mes étagères (mon valet est en vacances, le bougre), j’ai été prise d’une révélation. Mais plutôt que de vous l’expliquer en utilisant plein de mots et en vous perdant dès la deuxième phrase, je vous ai mis ça en images.
Pour vos yeux éblouis, voici « La journée des héros Hoyt » à Vera Cruz!

8h : Emeline et Samuel, héros des « Vertiges de la passions » ouvrent leurs yeux…

9h30 : Mickey et Silence, héros de « Troubles désirs » se lavent…

11h : Alistair et Helen, héros de « Le reclus » se baladent…

13h : Béatrice et Reynaud, héros de « Le revenant » crient famine…

16h : Lazarus et Temperance, héros de « Troubles Intentions«  ont commandé du Earl Grey…

20h : Hero et Griffin, héros de « Troubles plaisirs » n’ont pas laissé les gondoles à Venise…
 

22h : Winter et Isabel, héros de « Thief of shadows », vont à la première de « Songe d’une nuit d’été »…

23h30 : Mélisande et Jasper, héros de « Séduire un séducteur« , retrouvent leur lit à baldaquin…

Edifiant n’est ce pas?

Bonne lecture,
Tam-Tam

Quand Chi-Chi rencontre Tam-Tam

Back in Vera Cruz en ce mercredi!
Aujourd’hui levé de rideau sur nos surnoms et ce qu’ils m’évoquent. Chi-Chi vous l’avait dévoilé en son temps : les surnoms, c’est le prince pas si charmant qui les a déniché. Mais ce que vous ne savez pas encore, c’est le pourquoi du comment. 
Parce que sous sa plastique de super héros (c’est Batman), son sourire de rake, son regard de braise, se cache le cerveau d’un génie, et l’âme d’un enfant de 6 ans qui aime bien faire des bêtises…
Du coup, quand on s’est mises toutes les deux à le tanner pour qu’il nous trouve des surnoms, parce que l’on était bien infichues de connecter nos deux cerveaux (il faisait chaud au début du blog), il nous a sorti Tam-Tam et Chi-Chi, princesses de leur état.
Chi-Chi, c’était une touche de Dragon Ball (aka geekitude) et une note de perfectionnisme…
Tam-Tam, c’était le bruit… enfin, c’était surtout l’addiction à la marque éponyme (oui, je pourrais parler culottes si vous en aviez envie, mais Chi-Chi fronce les sourcils, là, dans le fond, alors je me tais).
Princesses Chi-Chi et Tam-Tam sont ainsi nées.
Du coup, quand le prince est d’humeur nostalgique et que l’on regarde des vieux Dragon Ball, j’ai des visions étranges… Et le stylo qui démange! 
En l’honneur de ce rendez-vous à Vera Cruz, mes stylos, je les ai pris. En espérant que cela vous plaise!
Tam-Tam
  

Le tag du dimanche… un mercredi !

Le dimanche qui tombe un mercredi, c’est un concept en soi, mais j’aime bien l’idée du dimanche perpétuel, c’est mon coté feignassouille…
Néanmoins, devant vos yeux ébahis, je vais à présent vous dévoiler ma vie ! Après Chi-Chi ce dimanche, c’est à présent à mon tour de répondre au tag lancé par Perséphone.
Donc, 11 choses que vous ne savez pas sur moi : 

  • J’aime le rouge. Les gens qui me rencontrent s’en rendent compte en deux secondes. C’est un détail qui ne sert à rien, mais parfois je me demande si le rouge de la collection A&P de J’ai lu n’a pas été le détail décisif qui m’a fait plonger dans la romance.
  • Je chausse du 40 et je mesure 1m75. Même si une telle taille est commune de nos jours, je m’identifie toujours beaucoup aux grandes godiches maladroites des historiques. Détail qui tue : j’ai à l’heure actuelle 4 bleus dont je ne connais absolument pas la provenance.
  • Je porte des lunettes. Elles me vieillissent de 5 ans et me font ressembler à une bibliothécaire acariâtre. Je le vis assez mal.
  • Je rêve parfois que je voyage dans le temps et que je deviens l’héroïne de mes romans préférés. Je les réécris dans ma tête et je dame le pion à Sara, Kate, Tabitha, Callie, Linnet, Jayne, Claire… Je sais, c’est mal.
  • Quand j’étais petite, j’étais persuadée que nos noms de famille et notre lieu de naissance ne faisaient qu’un. J’ai été traumatisé le jour où l’on m’a pointé l’illogisme de ce raisonnement.
  • Malgré mon coming-out de la romance, mon cher grand-père croit encore que je lis de la « littérature anglo-saxonne en version originale ». Les couvertures rose bonbon avec des hommes à moitié nus dessus ne lui ont pas mis la puce à l’oreille, j’ai peur de ruiner ses rêves de prestige pour moi et je n’arrive pas à me résoudre à lui expliquer.
  • J’ai été somnambule. J’ai failli être à l’origine d’une crise cardiaque, à l’insu de mon plein gré.
  • J’ai la trouille des orages. Mais la foudre qui met le feu à la maison de la voisine alors que vous êtes alone dans la maison en pleine tempête peut avoir ce genre d’effet. Effet kiss cool plutôt sympa, j’ai trop l’impression d’être Kate Bridgerton… ouais ! Rien que ça !
  • Quand je serai grande, j’aurais une maison dont le jardin s’ouvrira sur la plage. Le matin au réveil, je prendrai mon café en admirant le lever du soleil, le visage balayé par la brise marine et les orteils caressant le sable… Tout bien réfléchi, je devrais peut-être dire « quand je serai fortunée »…
  • Je fais une collection de carte postale de l’étranger. SI l’envie vous prenait de me rendre très heureuse, ma collection est à compléter ^^ !
  • J’ai l’art de dire « jamais ». Et à chaque fois que je le dis, je me fais avoir. C’est donc décidé, je ne serais jamais riche et célèbre !
    Enfin, 11 question posées… Et quelles questions!

    1/ Si tu devais assassiner un personnage de fiction, de qui s’agirait-il et pourquoi ?
    Mmmmmm… épineuse question, cela supposerait que je me rappelle du nom des personnages des romans que je lis non ? Je galère déjà pour me rappeler des noms de mes héros favoris, je ne vais pas essayer de retenir les autres.

    2/ Si tu devais écrire un livre, de quoi parlerait-il ?

    D’un homme fabuleusement sexy, bon et intelligent, d’une femme brillante, courageuse et d’une classe folle… et d’une rencontre de la mort qui tue.

    3/ Si tu devais jeter un livre, lequel serait-ce ?
    Je jette pas… Je les oublie !

    4/ Si tu devais ouvrir une librairie, comment la verrais-tu ?
    Je ne serais sans doute pas une bonne libraire. Je serai trop occupée à lire pour répondre aux demandes des clients.

    5/ Si demain tu rencontrais un auteur que tu as aimé ou pas mais auquel tu as quelque chose à reprocher, que lui dirais-tu ?
    Chi-Chi a déjà tout dit. Mais sur le même schéma, je demanderai à Jean Auel pourquoi avoir fait de son dernier tome un roman sur les grottes et non une fin de la série des Enfants de la terre.

    6/ Si tu devais créer une couverture de livre, qu’aimerais-tu faire (la couverture que tu rêverais d’avoir chez toi) ?
    Quand on lit de la romance, on apprends très tôt que la couverture n’est pas un critère, loin s’en faut. Mais j’avoue que j’aimerai parfois un peu de retenue, histoire d’avoir la sensation que le graphiste n’a pas trempé le stylet de sa tablette graphique dans de l’extrait concentré de kitch rose et sucré.

    7/ Si tu devais lire un auteur européen non français et non britannique, qui choisirais-tu ?
    J’aime bien Mireille Calmel, ou Patrick Cauvin, tout deux français…

    8/ Si tu devais monter une bibliothèque itinérante et voyager de ville en ville en Europe avec ton van, où irais-tu en premier lieu ?
    En Europe ? Mais pourquoi se limiter ? J’aimerai aller au Canada, au Kenya, en Australie…

    9/ Si tu devais créer un musée que choisirais-tu pour commencer votre collection ?
    C’est dur comme question. Si je ne peux prétendre être une grande prêtresse de l’art, je sais ce que j’aime. Et j’aime ça

    10/ Si tu devais enlever un auteur, à qui t’en prendrais-tu et pourquoi ?
    Si j’avais le choix, je n’enlèverai pas une auteur, mais son héros. La chair est faible, je sais…

    11/ Si tu devais me poser une question en rapport avec la lecture après tout cet interrogatoire, ce serait…?
    Si tu devais donner un livre à lire à une réfractaire de la romance pour la persuader, lequel serait-il ?

    Très bon mercredi,
    Tam-Tam
     

    Le tag du dimanche (again)

    Cette semaine, c’est Perséphone qui nous pose des questions, 11 + 11 questions très exactement! Tam-Tam m’ayant lâchement abandonnée pour voguer vers d’autres horizons, je réponds seule pour l’instant… Pas d’inquiétude, son tour viendra bien assez vite!
    Les règles donc : 
    Dire 11 choses à mon sujet, et répondre aux 11 questions posées.
    OK, challenge accepted! 
    Par contre, pour ce qui est de créer 11 nouvelles questions et tagguer 11 nouvelles personnes, comme la dernière fois, je propose que les volontaires se désignent avec les questions que nous avons eu! 
    Donc, 11 choses que vous ne savez pas sur moi : 
    • Si j’adore la romance, cela ne m’empêche pas d’être une vraie geek qui adore tuer des zombies virtuels et autres réjouissances du même genre.
    • Au moins deux fois par an, j’entreprends de classer et cataloguer ma bibliothèque. Je ne suis encore jamais allé jusqu’au bout !
    • Je suis une lectrice compulsive : je lis 15 livres dans le mois, puis plus du tout pendant le mois suivant. En ce moment je suis fâchée avec l’historique, Courtney Milan m’a ruinée pour tous les autres.
    • Depuis que la bibliothèque est rangée en arc-en-ciel, miraculeusement, je n’y retrouve rien mais je la maintiens en ordre.
    • De toute ma vie, j’ai réussi à faire lire une romance à ma mère. C’est la lecture dont je suis le plus fière. Je ne dirais pas ce qu’elle en a pensé !
    • Plus les années passent et moins je lis autre chose que de la romance. Plus les années passent et plus je suis exigeante avec mes auteurs. 
    • Je cherche toujours, 15 ans après, à retrouver le titre d’un Harlequin Azur lu à mes débuts, avec une héroïne laide. Genre vraiment laide ! Jamais retrouvé hélas…
    • Si j’ai commencé ce blog avec près de 30 livres au m², ce nombre a sérieusement diminué, notamment grâce au ménage de ma PAL !
    • Une de mes bibliothèque s’est déjà écroulée sous le poids des livres. En plein milieu de la nuit. Sur mon lit. D’où le ménage de la PAL…
    • Je trouve que personne ne parle d’amour mieux qu’Aragon dans ses poèmes à Elsa. Et encore plus quand il est chanté par Jean Ferrat.
    • Je viens de me torturer les méninges pendant plus d’une heure pour trouver tout ça, je vais donc en rester là, en disant que la question « dites nous quelque chose que l’on ne sait pas sur vous » est celle que Kristan Higgins redoute le plus en interview !
    Enfin, 11 question posées… Et quelles questions! 
    1/ Si tu devais assassiner un personnage de fiction, de qui s’agirait-il et pourquoi ?
    Les deux personnages principaux de « La solitude des nombres premiers », que j’ai détesté !
    2/ Si tu devais écrire un livre, de quoi parlerait-il ?
    Je n’écrirais pas un ouvrage de fiction mais un livre pour expliquer la romance à ses détracteurs.
    3/ Si tu devais jeter un livre, lequel serait-ce ?
    Jeter ? On ne jette pas les livres voyons !!! On les donnent !
    4/ Si tu devais ouvrir une librairie, comment la verrais-tu ?
    Je rêve de la librairie de Katherine Kelly dans Vous avez un message, avec ses bibliothèques de bois sculptées…
    5/ Si demain tu rencontrais un auteur que tu as aimé ou pas mais auquel tu as quelque chose à reprocher, que lui dirais-tu ?
    Je voudrais demander à Lisa Kleypas d’arrêter d’écrire de la romance contemporaine, qu’elle ne réussit à mon avis pas à moitié aussi bien que ses historiques
    6/ Si tu devais créer une couverture de livre, qu’aimerais-tu faire (la couverture que tu rêverais d’avoir chez toi) ? 
    En bonne lectrice de romance, j’ai appris depuis longtemps à ne pas prêter attention aux couvertures… J’avoue donc ne pas y être très sensible !
    7/ Si tu devais lire un auteur européen non français et non britannique, qui choisirais-tu ?
    J’aime beaucoup Katerina Mazetti, suédoise de son état.
    8/ Si tu devais monter une bibliothèque itinérante et voyager de ville en ville en Europe avec ton van, où irais-tu en premier lieu ?
    En Écosse ! Je garde un souvenir superbe de ce voyage…
    9/ Si tu devais créer un musée que choisirais-tu pour commencer votre collection ?
    Des illustrations de René Gruau, que je trouve rétros et pleines d’élégance (je vous en au mis une en illustration). Ou une collection des couvertures de romance les plus belles… genre celles avec Fabio… Cliquez sur le lien, vous regretteriez de ne pas l’avoir fait!
    10/ Si tu devais enlever un auteur, à qui t’en prendrais-tu et pourquoi ?
    Je voudrais enlever quelques unes de mes auteurs chéries, pour pouvoir les recevoir à diner chez moi et discuter avec elles. Eloisa James, Julia Quinn, Lisa Kleypas… Cela tombe bien, elles semblent être copines, cela ne devrait pas être trop difficile a organiser !
    11/ Si tu devais me poser une question en rapport avec la lecture après tout cet interrogatoire, ce serait…?
    Puisque tu lis un peu de romance toi aussi, quel est ton auteur préféré à l’heure actuelle ?
    Très bon dimanche à tous, 
    Chi-Chi

    Il était une fois…

    …deux princesses, Chi-Chi et Tam-Tam.
    Cette phrase, nous l’avons écrite il y a maintenant 364 jours.
    Voilà bientôt un an que nous vous régalons de nos chroniques littéraires où le happy-end est de rigueur. Un an de livres, d’auteurs, de débats virulents sur les clichés de la romance.
    Un an de belles surprises aussi : le premier commentaire d’une personne inconnue « IRL », le premier référencement dans les blogrolls d’autres blogs, les 100 lecteurs par article, les 100 articles…
    Et alors que l’heure de souffler notre première bougie approche, nous avons décidé de vous faire à notre tour une surprise. En ce mois anniversaire, nous déclarons l’ouverture du « mois de la Guest-Star » !
    Au programme, un quatuor de charme pour vous régaler : DuchessVirginia, Arwen, Belette et Lady D. (que vous avez déjà pu apercevoir ici et ici).
    Nos invités vous ont préparé un mois de juillet…
    Un mois de juillet de découvertes, de lectures et de vacances.
    De notre côté, deux voyages diplomatiques s’imposent à nous. Loin de nos écrans, nous ne pourrons répondre aux commentaires avec notre ponctualité habituelle. Mais nous ne vous abandonnons pas, nous vous laissons entre de bonnes mains. Et nous serons de retour dès la fin du mois, avec dans nos valises, de nouvelles lectures à vous présenter.
    Alors que Chi-Chi s’est déjà envolée vers l’Empire du Milieu, je vous donne rendez-vous demain, pour souffler avec moi notre première bougie. Je partirai à mon tour vers le Royaume de l’Union.
    Bonne lecture,
    Tam-Tam

    Une histoire de vampire pas comme les autres

    J’aime le fantastique, le féérique. J’aime les choses qui sortent des limites de notre univers. Croire en la magie est sans doute une part résiduelle de la petite fille de 4 ans qui parlait avec son ours « Chuchu-Bubu » – et j’anticipe vos questions, oui, cet ours a existé et s’est bien appelé ainsi, et non, je ne sais pas ce qui m’est passé par la tête ce jour là.

     
    Dans la littérature actuelle, il n’est pas rare de trouver des références à la magie et/ou au paranormal. C’est un ressort de l’intrigue qui est de plus en plus utilisé pour une histoire d’amour. J’ai parfois observé que ce ressort était le chemin facile vers une intrigue souvent construite autour de la problématique des deux mondes opposés/incompatibles quand auparavant les auteurs faisait référence aux différences sociales. Souvent vous remarquerez, il est question de vampire ou de magicien… oui, étrangement, le gnome et le troll font moins rêver !!
    La plus belle réussite en date est sans aucun doute la saga Twilight, dont je ne suis pas fan, mais à laquelle je reconnais la capacité à avoir su jouer avec l’éternel problème des jeunes amours contrariés (même si Edward est très très très vieux…).

     

    Récemment, j’ai découvert une auteur qui arrive à parler de vampire sans tomber dans ce travers.
    Michèle Bardsley raconte l’histoire d’un groupe de mères (ou pères) de famille célibataires ayant été malencontreusement transformés en vampire. Petit problème, leur progéniture reste humaine, et les voilà donc obligé de gérer leur nouveau statut de suceur de sang et la crise d’adolescent de leur petit dernier.
    J’ai lu les deux premiers :
    I’m the vampire that’s why (parce que je suis ton vampire, voilà pourquoi)
    Don’t talk back to your vampire (ne répond pas à ton vampire)
    En faisant référence aux phrases que nous avons tous entendu nos parents prononcer un jour , elle donne le ton : léger et drôle.
    Elle sort ainsi du modèle où le héros est un vampire torturé et mélancolique, qui semble être la règle depuis que Buffy est tombée amoureuse d’Angel, en face d’une héroïne frôlant souvent le statut de « TSTL » (Too Stupid To Live : trop stupide pour vivre). Le genre de tête à claque qui nous fait dire que parfois trop naïve fait cruche !
    C’est le genre de livre qui trouvera sa place parfaite dans le panier de plage. Quelque chose de drôle, sexy, fantastique avec un happy end pour couronner le tout.
    Petit bémol néanmoins, les histoires sont à la première personne. J’en connais que cela arrête.
    J’ai surmonté mes doutes et me suis lancée dans l’histoire pour découvrir que finalement cela rajoute un plus au personnage qui nous raconte son adaptation à sa nouvelle vie avec canines !
    Le premier raconte l’histoire de Jessica, qui vient de se faire plaquer par son mari après avoir découvert que ce dernier n’était pas d’une fidélité à toute épreuve. À la suite du décès de ce dernier, en pleine procédure de divorce, elle se retrouve à devoir gérer 2 enfants, une nouvelle paire de canines, et une libido en feu pour le très appétissant Patrick.


    Dans le second on découvre l’histoire de Eva, la bibliothécaire et de Lorcan, le frère de Patrick. Mère célibataire, Eva affronte de plein fouet la crise d’adolescente de sa fille quand elle est transformé. En plus d’être vampirisée, la voilà qui attire les animaux de toutes plumes et de tout poils…de quoi lui attirer bien des ennuis !!

    Tam-Tam